![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() |
![]() [recto] [verso] |
![]() |
La soixante-cinquième case, recueil de
Philippe Vidal. 12 Euros. «Nous avons rêvé le monde. Nous l'avons rêvé résistant, mystérieux, visible, omniprésent dans l'espace et ferme dans le temps; mais nous avons laissé dans son architecture de ténus et éternels interstices de déraison pour savoir qu'il est faux.» (Jorge-Luis Borges) «Quant à moi je dois être là, légèrement avancé, mais un siège masque les jambes et la taille de ma mère, jusqu'à hauteur de son avant-bras. N'étais-je pas un peu plus grand que ça, à quatre ans? J'ai scruté l'obscurité du cliché autour de cette porte, j'ai essayé de voir des cheveux dépasser de ce fauteuil, de m'imaginer derrière, et je ne peux rien conclure. Je peux être là.» Les dix-sept nouvelles qui composent ce recueil cherchent et explorent, pour les plus fructueuses d'entre elles, ces points de passage entre les rêves et le réel. Elles aiment les impossibles points d'équilibre où l'on ne sait plus vraiment de quel côté on vient ni si on veut encore rebrousser chemin.
![]()
Philippe Vidal est né en 1970 et vit à Toulouse. La soixante-cinquième case est le premier recueil publié sous son nom.
Couverture illustrée par Sébastien Hayez. ISBN 978-2-908254-90-7.
|
Le saviez-vous? Vous pouvez télécharger librement les versions pdf des recueils d'Édouard Ganche, Le Livre de la Mort et L'Ordre de la Mort. |