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La déception des fantômes, recueil de nouvelles
de Céline Maltère.
13 Euros.
«Attendre, quelle erreur... Rêver à l'impossible… Le résultat reste le même, à quelques années près.»
Gemma a fait la connaissance d'un vieux jardinier, Héribald, qui veille
sur la tombe de ses enfants et cultive toutes sortes de plantes. Le
cimetière est devenu un véritable jardin où il fait bon… vivre! «La
déception des fantômes» donne son titre à ce recueil de 27 nouvelles,
où les mortes amoureuses séduisent, où les revenants tiennent compagnie
à des vivants que tout désespère. Dans une atmosphère tantôt gothique,
tantôt familière, les histoires naissent des insuffisances et manques
des deux mondes: sur la route ensoleillée de Cap Creus, deux femmes
vont faire une rencontre effrayante; de jeunes plongeurs cherchent un
trésor au large d'Anticythère; un médecin conduit sa patiente dans les
soubassements de son capharnaüm, lui révélant le secret de la vie et de
la mort. Les coeurs se montrent insatisfaits, les animaux se vengent…
Faut-il se fier à leurs fantômes?
Lire les premières pages du recueil.
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La déception des fantômes, p.9
La fiancée d'Anticythère, p.21
Quatre feuilles, p.29
La cimenterie, p.47
Pompes funèbres Ortega, p.51
La crapaudière, p.57
Lucia, p.77
La Verrière, p.87
Les armes d'Ovide, p.105
La contagion, p.115
Les cygnes, p.123
La punaise, p.131
La maison triangle, p.141
Cerbère, p.157
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La salle patrimoine, p.169
Le sosie, p.177
L'Œil de Moïse, p.181
Viscérales, p.191
Le royaume d'Azemar, p.199
Cap Creus, p.209
Nécrobie, p.219
La Table de Katarina Toque, p.231
Dessalines, p.241
Vivian Destord, peintre des causes perdues, p.251
Le prosaïque et l'idéal (avec Francis Thievicz), p.257
Bonne-Espérance, p.261
Valsalva, p.265
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L'univers de Céline Maltère, onirique et parfois cruel,
a d'ores et déjà pris corps au sein de plusieurs publications de
tailles et de formes variées (micro-nouvelles, nouvelles, poèmes,
romans).
«Voici
un recueil de nouvelles qui devrait réjouir les amateurs d'histoires
terrifiantes, voire atroces, mais servies par un style d'une grande
pureté, par une écriture qui n'a rien à envier aux Mérimée et autres
Maupassant, et qui n'est pas sans laisser sourdre cette poésie de
l'horreur qui sied à tout bon texte osant s'aventurer dans l'au-delà.»
Jean-Pierre Fontana, L'Écran Fantastique n°406.
«Contrairement
à beaucoup d'auteurs, happés par leur sujet, Céline Maltère cisèle ses
textes sans fioritures et leur imprime un rythme. Excellente
nouvelliste, le lecteur ne peut guère présager la fin imaginée par
l'auteur. [...] Dans ce livre, Céline Maltère renouvelle le registre du
fantastique en mêlant dieux et mortels, animaux et êtres humains,
vivants et revenants.» Fabienne Leloup, Symboles et analogie.
«S'il n'est pas à mettre entre toutes les mains, voilà un singulier
mais puissant exorcisme des peurs viscérales et des pires perversions
humaines.» Jean-Pierre Fontana, Gandahar n°16.
«Lorsque vous aurez lu toutes ces nouvelles de longueur diverse mais
d'un intérêt toujours captivant, vous pourrez faire comme le déclare le
narrateur de Quatre feuilles: Je referme le livre. Je suis libre.» Paul
Maugendre, Les lectures de l'Oncle Paul.
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Couverture illustrée par Sébastien Hayez.
Chaque exemplaire du roman est accompagné d'une carte illustrée par Jean-Paul Verstraeten.
ISBN 979-10-90662-52-0.
Collection KholekTh
n°38.
ISSN 1962-6142.
11 x 17,5 cm. 282 p.
Imprimé sur bouffant blanc. Couverture
couleur
pelliculée mat. |