Témoin d'un monde qui ne cesse de reproduire les mêmes
erreurs – lorsqu'il n'en invente pas de nouvelles –Sylwen Norden a
développé ses propres obsessions. Ses propres
fantômes. Ceux d'une humanité qui ne réussira
jamais à remonter à la surface – parce que son mal est
trop profond. D'une manière ou d'une autre, cette idée
hante l'ensemble de ses textes.