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[recto] [verso] | Les Mondes perdus de Clark Ashton Smith, essai
de Jean Marigny. Épuisé. Les nouvelles de Clark Ashton Smith (1893-1961) s'organisent
pour la plupart en cycles et elles ont pour théâtre des contrées
imaginaires qui peuvent être soit des continents disparus appartenant
au patrimoine imaginaire de l'humanité comme l'Atlantide, l'Hyperborée,
ou la Lémurie, soit des contrées qu'il a totalement imaginées
comme Averoigne, cette étrange province qu'il situe au coeur de
la France médiévale et dont il a calqué le nom sur
celui de la province d'Auvergne, soit un continent du futur comme Zothique,
soit encore de lointaines planètes comme Lophai, Yondo, ou Xiccarph.
Les continents terrestres décrits par l'auteur peuvent être
qualifiés de «mondes perdus», dans la mesure où
ils semblent situés, selon une expression empruntée au titre
de l'un de ses recueils, «en dehors du temps et de l'espace»,
et où ils sont irrémédiablement voués à
la destruction. C'est à l'étude de ces mondes perdus que
la présente étude est consacrée. Jean Marigny, professeur
émérite de l'Université Stendhal à Grenoble,
où il enseignait la littérature anglaise et américaine,
est maintenant connu du public grâce à ses travaux sur le
vampire.
ISBN-10 2-908254-44-1. [1ère éd.] [2e éd.] |
Connu tardivement en France, puisque les premières
traductions de ses oeuvres datent de la fin des années 1960, Clark
Ashton Smith (1893-1961), correspondant et ami de Lovecraft et de Robert
E. Howard, est l'un des pionniers de la fantasy aux États-Unis.
Ses nouvelles s'organisent pour la plupart en cycles et elles ont pour
théâtre des contrées imaginaires qui peuvent être
soit des continents disparus appartenant au patrimoine imaginaire de l'humanité
comme l'Atlantide, l'Hyperborée, ou la Lémurie, soit des
contrées qu'il a totalement imaginées comme Averoigne, cette
étrange province qu'il situe au coeur de la France médiévale
et dont il a calqué le nom sur celui de la province d'Auvergne,
soit un continent du futur comme Zothique, soit encore de lointaines planètes
comme Lophai, Yondo, ou Xiccarph. Les continents terrestres décrits
par l'auteur peuvent être qualifiés de «mondes perdus»,
dans la mesure où ils semblent situés, selon une expression
empruntée au titre de l'un de ses recueils, «en dehors du
temps et de l'espace», et où ils sont irrémédiablement
voués à la destruction. C'est à l'étude de
ces mondes perdus que la présente étude est consacrée.
Jean Marigny, professeur émérite de l'Université Stendhal à Grenoble, où il enseignait la littérature anglaise et américaine, est maintenant connu du public grâce à ses travaux sur le vampire: Le Vampire dans la littérature anglo-saxonne (Didier-Érudition, 1985), Sang pour sang : le réveil des vampires (Découvertes/Gallimard, 1993), Le Vampire dans la littérature du XXe s. (Honoré Champion, 2003). Il est le fondateur du GERF (Groupe d'Études et de Recherches sur le Fantastique) qu'il a dirigé pendant de nombreuses années à l'Université Stendhal, et il est membre de la branche canadienne de la Transylvanian Society of Dracula. Il a également traduit et présenté pour la première fois en langue française un des classiques de la littérature vampirique outre-Atlantique, le roman de l'écrivain américain d'origine allemande George Sylvester Viereck: La Maison du Vampire (La Clef d'Argent, 2003). |
Les Mondes perdus de Clark Ashton Smith est illustré de deux dessins inédits de Clark Ashton Smith:
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Clark Ashton Smith, sans date. Taille réelle: 14,3 cm x 21,5 cm. Collection personnelle Jean-Louis Sarro. |
Clark Ashton Smith, sans date. Taille réelle: 12,2 cm x 13,8 cm. Collection personnelle Jean-Louis Sarro. |
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Le saviez-vous? Vous pouvez télécharger librement les versions pdf des recueils d'Édouard Ganche, Le Livre de la Mort et L'Ordre de la Mort. |