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Le Codex Atlanticus 4 -
épuisé
Le Codex Atlanticus
est une anthologie permanente consacrée
à la nouvelle et plus précisément aux textes
courts
du domaine fantastique. Résolument athématique, le Codex Atlanticus
se veut simplement le reflet de la production contemporaine
dans le genre qui nous occupe. On y trouve pourtant aussi des textes
plus
anciens, oubliés ou méconnus, permettant de mettre en
perspective
la production contemporaine avec la riche tradition dans laquelle elle
s'enracine. En 20 volumes publiés de 1990 à 2011, le Codex Atlanticus a fait paraître
près de 170 textes de plus de 90 auteurs. L'anthologie est
actuellement en sommeil.
«Collectionnite», Philippe
Gindre : Il y a vraiment des gens bizarres,
murmura
Coolter en se rasseyant...
«Le Train perdu», Claude
Farrère :
Tiphaigne
Hoff, le chef de gare, agita à bout de bras son fanal...
«Le Mannequin», Charles
Rabou
: Seul avec mon squelette, j'étais
occupé
à l'étudier à la lueur d'une lampe...
«L'assassinat du Pichet qui
piche»
(1892), Jean
Richepin : Qu'il fût arrivé malheur
à quelqu'un, j'en eus le net sentiment...
«Télépathie», Théo
Varlet : Voici que notre occulte duo se
poursuit
en moi, faisant alterner mes pensées avec d'autres, d'un
caractère
sombre et hagard...
«La Morgue» («The
Mortuary», 1914), Clark
Ashton Smith : Rêvant au-dessus des
marbres,
je vis les ombres inquiètes s'élancer...
«La Chambre du roi», Emmanuel
Levilain-Clément : À mesure que
je m'approchais, l'ombre glissait vers la précision d'une
image...
«Madame de Kerdrel», Christian
Hibon : C'était en septembre, le soir
coulait
comme une encre légère...
«Ce grand lisse», Daniel
Castelain :
Antoine
de Kerdrel fut persuadé qu'il était malade de par la
volonté
divine...
«Le Blockhaus
aérostatique», Philippe
Gindre : Essor prodigieux de l'inactuel
face à
la pesanteur du moment...
Les cahiers Faim de siècle(s)
: Charles
Hesseins (1836-1861).
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Couverture illustrée par Philippe
Dougnier.
Le Codex Atlanticus ISSN 1145-6892.
14 X 20,5 cm. 92 p.
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