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Dossier de presse

Cette page contient notre dossier de presse pour l'année 2022.
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Les spectres d'Eiffel (édition illustrée) - François Fierobe et Léo Gontier L'Écran Fantastique Reboot n°21, octobre 2022.

Les Spectres d'Eiffel (édition illustrée par Léo Gontier), roman de François Fierobe.

La tour Eiffel possède sous son manteau de ferraille des secrets invisibles au banal oeil touristique. Mais pas à celui de qui, après des enquêtes minutieuses, nous en révèle certains dans Les Spectres d’Eiffel. Par exemple comment toutes ses pièces furent volées à l’insu de son maîtred’oeuvre pour être remplacées par d’autres, identiques, cequi a permis au voleur de reconstruire la vraie tour quelquepart dans le monde – Amazonie, Antarctique ? – Alors que ce qu’on croie être la vraie tour est en réalité, une fausse. La tour peut aussi provoquer des «hallucinations hypnagogiques». Et sait-on qu’elle servit un temps à des exécutions capitales, l’échafaud ayant été hissé sur la plateforme du premier étage afin que la tête des condamnés puisse glisser sur un plan incliné jusqu’au pied des spectateurs ravis ? Et qu’une vieille éléphante y fut pareillement hissée avant de s’écraser au sol par suite d’une rupture de câble ? Toutes ces histoires et bien d’autres sont racontés de manière très documentaire et néanmoins poétique, à la manière de truculents faits-divers feuilletonistes du siècle avant-dernier par un auteur aussi malin qu’inspiré, au point de nous faire croire que tout cela est vrai. Si ce livre eut il y a quelques années une première édition, il est aujourd’hui réédité abondamment illustré par de magnifiques peintures de Léo Gontier, qui nous révèle dans un cahier terminal ses secrets de fabrication en nous livrant quelques inédits. Un must!

Jean-Pierre Andrevon


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Ilve la blonde - Lucile Négel Science Fiction Magazine n°116, août 2022.

Ilve la blonde, roman de Lucile Négel.

Ilve la Blonde est à elle seule une énigme. Est-elle une déesse ou bien l'une de ces prêtresses dans la confidence de ces dernières, chargée d'accompagner la fatale destinée d'un monde dominé par les hommes ? On hésitera presque immédiatement quand on croisera son regard. Surtout ces hommes qui lui cèderont leur virilité tout comme leur confiance. Une confiance presque aveugle. Tout juste sait-on d'elle qu'un beau jour elle débarqua à la tête d'une armée de nordiques dans une cité à peine gagnée au christianisme et immédiatement outragée par ces terribles hommes du nord aussi féroces que les monstruosités montées en effigies à la proue de leurs navires ; à peine sortie de l'adolescence, Ilve ne sera pas seulement un danger pour les peuplades conquises la redoutant comme le diable en personne mais également un malheur pour son propre peuple. Car Ilve est belle, horriblement belle, nubile, blonde, des yeux immenses d'un bleu grisâtre. Tous ceux qui lui cèdent accomplissent malgré eux des malédictions, des crimes, des rixes injustes, des massacres. Aussi, quand elle parviendra enfin à son but, à savoir devenir la maîtresse de la cité de Zlatov, Ilve change. Elle se fait devineresse, prophète. Illve se fond peu à peu à l'histoire d'un monde dont les animaux jusqu'à la géographie semblent l'accompagner dans un dessein secret. Et toujours les hommes tombent, défaillent, errent. Et toujours Ilve installe un peu plus son règne secret et définitif, jusqu'à se confondre avec un mythe. Alors, cette chronique à plusieurs personnes se mue soudainement en une fresque sacrée où ce ne serait plus l'homme qui dominerait mais cette adolescente-entité, cette démone qui pourtant gagne toujours dans un univers qu'on pensait soumis aux hommes. Varlaam le moine, Arguérove le barde, Mertourim le nomade. Tous raconteront l'histoire de cette blonde fatale, ce démon fait femme, que ce soit dans la défiance, la fascination ou cet amour trouble qui les prend tous. Jusqu'à faire vaciller le vrai dieu lui-même, et son plus fidèle serviteur pris lui aussi dans les charmes d'Ilve la Blonde, ange et démon parce qu'on ne peut que l'aimer et perdre, source d'éternité enfin aussi pour le solitaire, fatalement...
Par une nuit claire, une étoile filante traversa soudain le ciel de la littérature. Et son nom était Lucile Négel (1946-2006). Brillante anthologiste, éditrice (les excellentes éditions de l'Agly) mais aussi maître d'oeuvre du très réputé magazine «Martobre», on peut dire que cette dame discrète et entière oeuvra beaucoup pour le genre. Mais cette avec cet incroyable «Ilve La Blonde» qu'elle marquera définitivement les esprits et le genre. Surfant lointainement sur les plates bandes d'un Nabokov et son «Lolita», mais toujours sous cet arc narratif rappelant subtilement celle de Pouchkine, Lucile Négel nous brosse le portrait saisissant de l'une de ces femmes maléfiques. Ou disons, qu'elle nous fait le subterfuge de ce genre dans la volonté peut-être secrète de faire sortir cette femme du moyen-âge des ornières dans lesquelles le patriarcat l'avait définitivement englué. En des actes qui bien entendu feraient passer un mâle pour un conquérant et une femme une dangereuse divergente bonne pour le bucher. Conté sur le ton de chroniques à plusieurs personnes, nous avons là un rare portrait à caractère hagiographique des diverses étapes qu'accomplira une femme pour se hisser dans un monde bien particulier puisqu'il s'agit du monde des hommes. De son arrivée avec les invasions nordiques à son apogée en passant par les diverses tactiques pour évincer le moindre adversaire ou opposant, Lucile nous dresse le portrait sans concession de l'une de ces figures du mal assez rares dans l'histoire humaine pour qu'on aime à la caricaturer. Ici, la plume agile et incisive de l'auteur nous entraîne jusqu'à un paroxysme absolu du genre. Puisqu'il semblerait que c'est tout un univers de sens qui se voit bouleversé par un séisme : l'accession à une altérité d'une femme. La femme sort de sa cuisine, des geôles où on la viole et des meurtres où on la perce et égorge. Et en lui faisant gagner le ciel des idées de ces «fils de dieu», voilà que Lucile Négel accomplie une ultime prouesse littéraire. Puisque contraint, puis séduit et enfin vaincu, cet ultime «moineau de dieu» finira par l'accepter dans sa propre psyché, en tant qu'instance en puissance, paramètre supplémentaire, à égalité avec son dieu mâle. Et c'est à ce moment là, une fois le livre refermé, qu'on est bizarrement pris de l'étrange impression d'avoir lu un très grand texte. Manifeste ? Situationnisme sur la femme moderne mis à jour dans cet étrange moyen-âge ? Leçon de choses ? On hésite, tant la plume échappe à nos tentatives, tant l'onirisme de la fin nous questionne intimement sur un univers clos qu'on pensait inaliénable, et qui se voit soudain bouleversé peut-être pour nous montrer combien il est question non pas de valeurs auxquelles cette femme dérogerait, mais bien la stigmatisation perpétuelle dans laquelle la misogynie masculine l'avait enfermée. Tentatrice, corruptrice, copulatrice, voire esclave, tous ces lieux communs et ces faux semblants faciles dans lesquels l'ont enfermé l'ensemble des civilisations et religions semblent ici soudainement «abrogés». Et le fait que de surcroit Ilve soit trop jeune pour ça nous met soudain le doigt sur ce que nous sommes, nous, hommes. Et sur ce que nous leur déléguons en termes de «Mal» et sur ce que nous leur demandons à jamais d'expier symboliquement. En lui faisant gagner la sphère du mythe, l'auteur nous la rend soudain au réel, à la sphère économico-politique mais elle en faiyt également la dépositaire d'un savoir. Femme-enfant devenue à la fois objet et sujet. Et forcément supérieure dans le mal. Surtout sur la quantification maléfique que l'homme lui a jadis attribuée, comme d'un fardeau. Ici, les chaînes semblent s'être brisées. Non pas pour sonner le glas du monde des hommes et castrer ces derniers. Mais bien pour signifier cette altérité gagnée sur le patriarcat et qui se paiera cher pour elle. Quand dans «Les mystères d'Udolphe» d'Ann Radliffe ce même sujet féminin jeté nu dans le monde rendu à ses manifestations les plus secrètes et perverses prenait conscience de sa vulnérabilité mais aussi de son manque d'autonomie. Manifeste anachronique sera-t-on tenté de dire alors. Puisque cette prise de pouvoir dissimule également le symptôme d'un changement chez cette femme en manque d'identité. Un prélude à cet obscurantisme qui allait sous peu s'abattre sur la femme, les sorcières, et ce nouveau monde sexué...

Emmanuel Collot


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Liviyatan - Céline Maltère Yozone, 3 juillet 2022.

Belle et sombre, recueil de Jean-Pierre Andrevon.

Entre terreurs passées et à venir et onirisme encore teinté d’espoir, un très beau nouveau recueil du prolifique Jean-Pierre Andrevon.
Cela fait quelques temps que j’ai (re)lu ce nouveau tome des nouvelles de Jean-Pierre Andrevon. Après deux volumes consacrés à des textes en devenir, voilà de l’achevé à se mettre sous la dent, et des textes qui, 18 mois après leur lecture, me demeurent en mémoire...
“La veuve”, qui ouvre le tome et lui vaut sa couverture (signée de l’auteur), s’avère assez classique : un homme épouse une belle et jeune veuve qui insiste pour faire la cérémonie dans son village au fin des Balkans, il ne parle pas la langue du coin, tout le monde le regarde bizarrement et la cérémonie n’a pas l’air très orthodoxe... jusqu’à la nuit de noces qui le dessillera définitivement. La narration interne facilite l’immersion et la restriction d’information, et donne à voir l’aveuglement typiquement masculin pour un corps très attirant.
“Les ailes brisées” joue sur plusieurs registres, entre onirique et post-apo, avec de jeunes gens porteurs d’ailes et d’espoirs. C’est sensible, truffé de réflexions sur l’importance de l’écologie pour les générations futures.
“L’arche”, le plus long des textes, est aussi le plus déroutant. Au-dessus d’une ville on construit une arche de béton. Mais une guerre aux frontières, cause de cette construction, nuit aussi au bon déroulement des travaux. Le narrateur constate, dès les premières pages, que les piliers sont mal coulés, que cela s’effrite. Parti en balade, loin d’un domicile réquisitionné comme hôpital de campagne, il va se retrouver dans des quartiers moins chics, croiser des populations ouvrières, revendicatrices... Enfin, « il », c’est un grand mot, car Andrevon, sans coupure dans son texte, nous fait sauter d’un personnage à un autre, à moins que ce soit le personnage qui saute, à son insu, d’un corps à l’autre... jusqu’à boucler la boucle de sa promenade. Sur le fond, on retrouve les sujets de prédilection de l’auteur, le rejet d’une société déconnectée des réalités (avec des grands travaux qui ne sont qu’un écran de fumée), le constat des difficultés des oubliés, des petites gens, des bras qui triment. Et sur la forme, c’est donc étourdissant. Difficile de ne pas penser aux « Cités obscures » de Schuiten.
“Le petit tailleur et sa toute petite femme” est un joli conte, tout mignon, très doux.
J’ai beaucoup aimé “Les épées”, car là encore l’auteur nous laisse dans le flou : on se croit dans de la fantasy influence Renaissance italienne, avec costumes et intrigues de cour dans un petit domaine disputé, et puis quelques détails viennent semer le doute et les graines de la SF.
Enfin, “La course vers la mer” est emblématique de l’auteur : complètement barré et bourré de lumière. Dans un quartier, on se prépare à une course de maisons. Selon leur âge, leur mode de chauffage, de construction, elles vont s’arracher à leurs (parfois maigres) fondations, négocier des virages au coude-à-coude (ou au crépi-à-crépi ?) pour un emplacement en bord de mer. L’auteur déploie le vocabulaire et l’énergie d’une régate sans merci, les vaisseaux de pierre et de briques remplaçant les trois-mâts et les bricks. Dans la maison que l’on suit, vieille demeure confortable, c’est toute la famille qui est sur le pont. Il y a du suspens, on est grisé jusqu’à la ligne d’arrivée et la fin qui ramène l’humanité après la compétition effrénée.
Si j’ai quelque difficulté avec l’Andrevon illustrateur (sa couverture est... saisissante), j’adhère pleinement à l’auteur, et ce nouvel éventail de son talent, grappillé au long de sa carrière, conforte s’il en était besoin sa place d’auteur phare de l’imaginaire français.

Nicolas Soffray


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Liviyatan - Céline Maltère Gandahar n°32, juin 2022.

Liviyatan, roman de Céline Maltère.

La collection de La Clef d'Argent demande à ses auteurs de s'inspirer d'un lieu historique de leur région pour y échafauder une fiction plus ou moins fantastique. C'est ainsi que Céline Maltère, après avoir revisité la demeure de Louis Mantin à Moulins (Le Cabinet du diable) s'inspire cette fois d’un fait divers survenu à Vichy en 1933, autour de la maison du docteur Lieberman, la villa Maire, et de sa fille Marie-Evy, jeune fille imaginative et sensible mais aussi courageuse et intelligente.
Céline campe ici des personnages du cru qui ont vraiment existé et se sert de leurs conversations de comptoir pour créer la fameuse rumeur du monstre de l'Allier, que certains ont alimentée pour toutes sortes de raisons peu honorables, au point que les journaux en ont fait leurs choux gras, attirant même des Parisiens jusque sur les bords de l'Allier.
Marie-Evy représente le personnage “pur” de cette histoire et décide d'enquêter jusqu'à se rendre la nuit, au péril de sa vie, sur une île du fleuve propice à l'observation.
De sa plume aiguisée, Céline dissèque à plaisir la bêtise et la méchanceté humaines, en gardant à son récit des dehors bon enfant, tout à fait en accord avec les dessins satiriques paraissant dans les journaux de l'époque. On verra d'ailleurs l'un d'eux en couverture, réellement paru dans Le Progrès de du 7 janvier 1934. On notera en bas et à gauche du dessin, une étoile de David stylisée.
On sent déjà poindre dans l'atmosphère la méfiance envers les Juifs et les tensions qui aboutiront à la guerre.

Christine Brignon


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L ou Un meurtre facile - Jean-Pierre Andrevon Le Dauphiné Libéré, lundi 21 février 2022.

L ou Un meurtre facile, roman de Jean-Pierre Andrevon.

Fantastique, science-fiction, polar, littérature jeunesse, poésie, érotisme, Jean-Pierre Andrevon a publié plus de 180 ouvrages depuis la fin des années 60. Entouré de ses nombreux chats dans une maison sur les flancs de La Bastille, c'est là qu'il vient d'écrire et de publier «L ou un meurtre facile», son dernier livre qui, après «Tout à la main» et «Toutes ces belles passantes», clôt sa trilogie sur la femme, aimée et mortifère.
Avec ses croustillantes pages érotiques où Jean-Pierre, personnage-frère de l'auteur, ressasse ses relations amoureuses et déverse ses fantasmes, «L ou un meurtre faci- le» n'est heureusement pas un livre convenable et donc à mettre entre toutes les mains. Ce roman, dont on soupçonne une part autobiographique, plonge le lecteur dans une relation aussi destructrice qu'éphémère entre un peintre fauché et L, femme mariée à un riche banquier désireux de monter une galerie d'art. Comme les histoires d'amour finissent mal, c'est peu à peu que la douleur de Jean-Pierre se mue en rage jusqu'au désir de meurtre. Mais qui tuer?
Même si les personnages de ce livre sont souvent dévêtus, c'est à travers ce faux journal intime qu'une nouvelle fois, Jean-Pierre Andrevon se met à nu à travers son double. C'est en listant les choses qu'ils aiment ou n'aiment pas que les deux amants du roman s'effeuillent. Alors qu'L aime fréquenter les librairies, lui, raffole du cinéma de Buster Keaton et de François Truffaut. Un cinéma où l'on prend plaisir à retrouver Jean-Pierre sous le charme -- de Bernadette Lafont dans «Les Bonnes femmes»; Claude Chabrol à son meilleur. Côté littérature, Jean-Pierre s'avoue «du côté de Manchette et pas de Simenon» et sa détestation de la psychologie l'amène du «coté de Sartre, pas de Mauriac». Dans son roman, Michel Houellebecq et ses «Particules élémentaires» sont aussi largement cités. Cependant, on entrevoit que les derniers livres publiés par Houellebecq ne sont pas du goût d'Andrevon, lui qui, pourtant, en 1999, avec «Gueule de rat», dédicaçait «À mon frangin Michel Houellebecq». Une autre histoire de double.

Antoine Girardier.

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À l'assaut du ciel - Anthologie Newsletter de L'Écran Fantastique, 8 janvier 2022.

À l'assaut du ciel, anthologie d'imaginaire communard dirigée par Jean-Guillaume Lanuque.

À l'assaut du ciel, «anthologie d'imaginaire communal», regroupe 18 nouvelles, toutes inédites, de divers auteurs français, jeunes et peu connus souvent  – mais, comme on dit, la valeur n'attend pas le nombre des années, ni le nombre de publications! Pourquoi alors la Commune, date et expérience essentielles de l'Histoire du peuple français (à ne pas confondre avec l'Histoire de France)? Comme le note Jean Guillaume Lanuque, maître d'œuvre de cet imposant ouvrage de 370 pages, «le bicentenaire de la mort de Napoléon a clairement éclipsé le cent-cinquantième anniversaire de la Commune de Paris», 72  jours de convulsions sociales écrasés par les Versaillais de monsieur Adolphe Thiers un triste 28 mai 1871. Si, ainsi que le précise le préfacier Philippe Videlier, cette anthologie est faite au départ pour célébrer l'ouvrage de Tony Moilin, Paris en l'an 2000, l'auteur ayant précisément été fusillé ce 28 mai, les auteurs présentés dans ces pages ont eu à cœur de reprendre le thème, bien souvent sous l'angle de l'uchronie et du voyages temporel («Hussard rouge» de Louis-Xavier Pérez), alors que d'autres nous plongent dans l'action rétrospective avec, plusieurs fois en lice, la grande figure de Louise Michel, par exemple sous la plume acérée de Jérémie Perrin, avec un titre pesant son poids d'humour, Adolphe mon amour, tandis que Céline Maltère opte pour la poésie coup de poing avec sa «Pipistrelle commune». Tous les textes devraient être cités, alors contentons-nous de cette recommandation: à lire absolument, ne serait-ce que pour nous rafraîchir la mémoire.

Jean-Pierre Andrevon.

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Le saviez-vous? Vous pouvez télécharger librement les versions pdf des recueils d'Édouard Ganche, Le Livre de la Mort et L'Ordre de la Mort.

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